Nous proposons aussi:
Il y a peu de temps, les fibromes étaient traités de façon chirurgicale (laparotomie ou laparoscopie) par myomectomie (retrait du fibrome). Cette méthode entrainait malheureusement des dommages collatéraux. Il existe aujourd’hui la possibilité de procéder à un traitement non-chirurgical par radiofréquence, et ce dans la plupart des cas.
Cette méthode présente des avantages indéniables. En effet, il n’y a pas réellement d’opération ni de cicatrices. De plus, après le traitement, peu de douleurs subsistent, tandis que le taux de réussite est exceptionnel. Fait notable, cela permet de conserver l’utérus.
Que ce soit par une ménopause naturelle ou artificielle (en cas de cancer du sein), la femme connait une baisse des hormones féminines. Cela peut entrainer une sécheresse vaginale et/ou vulvaire (à l’entrée du vagin) qui occasionne des symptômes désagréables.
Les symptômes les plus courants sont des démangeaisons, des brûlures et des douleurs voire des saignements lors des rapports sexuels. Pour remédier à cela, il existe des traitements hormonaux par exemple. Néanmoins, ils peuvent être contre indiqués ou tout simplement non-voulus.
C’est là qu’intervient le traitement par laser CO₂ MonaLisa. Ce dernier permet un rajeunissement de la sphère vaginale, ce qui entraîne une disparition des symptômes. Il agit en stimulant la paroi vaginale et vulvaire, provoquant un afflux de vaisseaux sanguins, qui permet un épaississement des différentes couches du vagin. Ce résultat a pour conséquence une réhydratation et une lubrification naturelles.
Les cicatrices sont malheureusement la conséquence de toute intervention chirurgicale. Alors, un processus de guérison se met dès lors en marche pour résorber l’agression cutanée. Le résultat naturel est un aplatissement et une diminution de la visibilité de la cicatrice.
Dans certains cas, cette résorption n’a pas lieu et les cicatrices restent très visibles, surélevées et potentiellement douloureuses. On les appelle des chéloïdes. Pour remédier à cela, le traitement par laser CO₂ peut s’avérer très efficace. Il est en effet capable, sans crèmes ni médicaments, de réduire les cicatrices.
Techniques chirurgicales
Pour traiter l’endométriose de façon chirurgicale, nous disposons de deux techniques. La première est la laparoscopie, ou aussi appelée cœlioscopie. Cette méthode est très peu invasive. En effet, seulement quelques petits trous sont percés afin d’opérer. La deuxième technique est la laparotomie (ou chirurgie ouverte), mais elle n’est utilisée qu’exceptionnellement.
Laparoscopie
La chirurgie gynécologique et celle concernant l’endométriose en particulier peuvent être effectuées par des moyens habituels, tels que ciseaux et coagulation. Néanmoins, il existe d’autres technologies plus précises et récentes. Parmi elles, nous pouvons citer le laser CO₂.
Cette technique consiste à ce qu’un faisceau passe par un canal introduit au niveau du nombril. Il est directement piloté par l’opérateur qui pourra alors procéder à une chirurgie rapide. La technique de section-coagulation-vaporisation pour est ainsi plus précise, afin d’emporter ou détruire les foyers d’endométriose. Cela permet aussi de minimiser les dégâts thermiques sur les tissus restants. Le laser CO₂ est l’instrument idéal pour réaliser la technique du «shaving» (passage à ras). Cette méthode est généralement utilisée sur la paroi intestinale, pour éliminer les lésions profondes d’endométriose. Le laser est donc adapté pour traiter l’endométriose à tout endroits.
Il est également particulièrement efficace dans la vaporisation des kystes ovarien d’endométriose. En effet, sa précision lui permet de détruire la maladie tout en épargnant l’ovaire.
Ce type de procédé nécessite toutefois une réelle expertise en chirurgie.
Chirurgie par laparoscopie au laser
La chirurgie gynécologique et celle concernant l’endométriose en particulier peuvent être effectuées par des moyens habituels, tels que ciseaux et coagulation. Néanmoins, il existe d’autres technologies plus précises et récentes. Parmi elles, nous pouvons citer le laser CO₂.
Cette technique consiste à ce qu’un faisceau passe par un canal introduit au niveau du nombril. Il est directement piloté par l’opérateur qui pourra alors procéder à une chirurgie rapide. La technique de section-coagulation-vaporisation pour est ainsi plus précise, afin d’emporter ou détruire les foyers d’endométriose. Cela permet aussi de minimiser les dégâts thermiques sur les tissus restants. Le laser CO₂ est l’instrument idéal pour réaliser la technique du «shaving» (passage à ras). Cette méthode est généralement utilisée sur la paroi intestinale, pour éliminer les lésions profondes d’endométriose. Le laser est donc adapté pour traiter l’endométriose à tout endroits.
Il est également particulièrement efficace dans la vaporisation des kystes ovarien d’endométriose. En effet, sa précision lui permet de détruire la maladie tout en épargnant l’ovaire.
Ce type de procédé nécessite toutefois une réelle expertise en chirurgie.
Chirurgie Robotique
Il s’agit d’un procédé faisant appel à une laparoscopie assistée par robot. Elle permet au chirurgien d’opérer de façon assise avec une vision en 3D du site opératoire. Cette technique représente un avantage certain pour le confort du chirurgien, dans le cas d’opérations longues et difficiles). Néanmoins, elle ne permet pas d’avoir un retour de force sur le tissu traité.
Selon mon expérience, elle n’est pas un indiquée pour le traitement de l’endométriose.
Hystéroscopie
L’hystéroscopie est une technique micro-invasive qui permet d’effectuer un diagnostique et d’opérer par voie naturelle. Il s’agit d’une exploration de l’intérieur de l’utérus en passant par les voies naturelles sans anesthésie. Elle permet de détecter une pathologie comme un polype, ou un fibrome. L’hystéroscopie opératoire sous narcose permet de traiter chirurgicalement ces pathologies. Elle a pour avantage d’effectuer des diagnostiques et des opérations minimalement invasives. Cela permet d’éviter une d’anesthésie, tout en réduisant fortement le temps d’hospitalisation.
Surtout un bon bilan avant de prendre une décision !
Notre philosophie
I
Un rendez-vous chez un professionnel
II
Une écoute attentive des symptômes
III
Un examen orienté et méticuleux
IV
Des examens complémentaires adéquats
V
Des hypothèses diagnostiques réalistes
VI
Une stratégie thérapeutique personnalisée
— Technique laparoscopique
" des petites incisions qui permettent de réduire les infections, les saignements, les douleurs, le temps d’hospitalisation, les cicatrices avec ses indéniables avantages esthétiques. "
L’Hôpital de La Tour est un établissement de soins de haut niveau, privé, indépendant et à dimension humaine.
La mission de l’Hôpital de la Tour est d’instaurer la meilleure qualité de vie possible à ses patients. Pour cela, il a placé l’amélioration continue et le développement de l’excellence médicale au cœur de ses priorités. Pour soutenir ces objectifs, l’hôpital fait appel à des médecins attachés à l’institution et à un personnel soignant compétent.
Pour garantir un suivi et des résultats exceptionnels, l’établissement dispose d’une infrastructure équipée des dernières technologies. Il dispose d’un service d’urgences ouvert 7J/7, 24H/24, ainsi que d’un service de soins intensifs et un de soins continus. Pour parfaire le tout, l’Hôpital de la Tour propose un service de médecine interne ainsi qu’un service de pneumologie pour les soins aigus.
Il est d’ailleurs le seul hôpital de Suisse romande à être aussi complet. Il dispose également d’une unité de soins intermédiaires en néonatologie et d’un centre de médecine du sport “Swiss Olympic Medical Center“.
L’Hôpital de La Tour est reconnu dans la planification hospitalière du canton de Genève. Il peut également accueillir, dans certains cas, des patients sans assurance complémentaire. Quant aux consultations ambulatoires, elles sont accessibles à tous les assurés, au bénéfice de l’assurance maladie de base (LAMal).
L’Hôpital de La Tour en chiffres par année:
- 7’500 patients hospitalisés
- 339’000 prises en charge ambulatoires
- dont 39’000 urgences
- 6’600 interventions chirurgicales
- 52 médecins formés dans 11 disciplines médicales
- 1’100 collaborateurs
- 511 médecins agréés actifs.
" Nous comprenons que chaque patient est unique et que chacun a sa propre histoire et ses propres problèmes. Nous évaluons chaque patient individuellement et offrons à chaque patient le meilleur traitement pour son problème particulier. "
— Dr Jean-Marie Wenger, Chirurgien gynécologue
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